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http://www.dailymotion.com/video/xbh1rz_maisons-malang_travel
Cliquer sur le lien de dailymotion si la vidéo ne s'affiche pas sur le blog.
Une petite vidéo faite par Malang, le sénégalais qui s'occupe du projet de Jerem.Il présente ses maisons où vit ses 2 femmes et le reste de sa famille. C'est là où Jerem à vécu en arrivant au village.
samedi 12 décembre 2009
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dimanche 6 décembre 2009
Jatropha !
Pour ceux qui se pose encore la question à quoi ressemble le jatropha, voici la photo de la feuille et d'un champs de culture dont Jérémy s'occupe.
samedi 28 novembre 2009
News de Jerem
Bonjour tout le monde !
Jérémy ne vous donnant pas de nouvelles. On va palier à son absence en laissant quelques photos de lui. Sa mère lui a rendu visite au cours du mois de novembre.
Comme certains l'ont su. Il a eu un petit accident de car fin octobre et il a 2 vertèbres fracturés. Pas d'inquiétudes, il va bien ( comme vous pouvez voir sur la photo, il ne perd pas les bonnes habitudes et se tape une bonne gazelle). Il est juste obligé de garder un corset jusqu'en janvier et à l'interdiction d'être en position assise. Il peut se déplacer et rester debout sur de courtes périodes. Voici quelques photos de Jerem maintenant, comme vous allez voir, il a beaucoup beaucoup maigri. c'est un bel homme svelte et musclé.
Leslie ( je metterais des photos de son bureau et chez lui dans la semaine )
jeudi 16 juillet 2009
Téléphone
Bonjour à tous,
Jérem a perdu son téléphone en faisant le pitre sur sa moto, il vous demande donc de lui envoyer un mail avec votre numéro... Merci!
Jérem a perdu son téléphone en faisant le pitre sur sa moto, il vous demande donc de lui envoyer un mail avec votre numéro... Merci!
samedi 13 juin 2009
le transporteur de Daouda
Bonjour tout le monde
Hier mardi 19 mai, on a participé à une course poursuite typiquement africaine. La course aux clients. Prenez 4 compagnies de gbaka, des clients un peu partout sur la route, un même trajet et un petit souci au départ pour pimenter le tout et c’est parti mon kiki.
Bon faisons un peu le guide touristique. Les gbakas porte le nom ici de Ndiaya Ndaye, dû au premier entrepreneur qui las a introduit au sénégal. Ce sont des minibus Mercedes allant de 22 places à 32. En vrai il vont de 18 à 26 places mai ils sont toujours surchargé. Mon record dans un 22 place c’est 29 dont 24 adultes. On retrouve ce moyen de transport un peu partout au Sénégal et dans l’Afrique de l’Ouest. C’est le moyen de transport le plus économique mais le plus lent. Sur la plupart, on peut lire alhamdoulihali qui je crois ou si j’ai bien compris veut dire grâce à dieu. Ces bus ont un trajet précis par exemple Tamba Dialacoto. Entre les points ils peuvent s’arrêter n’importe où et surtout très souvent pour prendre quelqu’un ou déposer une personne. La plupart des véhicules ont un problème technique, le plus souvent c’est le radiateur qui est pressé.
Entre Tamba et Dialacoto, c’est le seul moyen de transport. Le prix du trajet est de 1000 FCFA (environ 1,5€) Les gbakas du coin sont souvent de 22 places avec pour tous le même agencement. Une équipe de gbaka est composée de un chauffeur et 2 apprentis. Leurs boulots consistent à récolter l’argent des voyageurs, et les placer, ainsi que de monter Leur jeu préféré attendre que le bus démarre courir derrière et s’accrocher à la porte ouverte et a l’échelle en laissant traîner les pieds au sol.
Le véhicules est agencer avec 2 places a coter du chauffeur puis 3 rangées de 5 places et 2 banquettes de 2 place et entre les 2 ont rajoute un banc. Chaque place a ces avantages et ces inconvénients. Un peu comme tout. Moi je conseil le matin soit devant ou les rangées 5 places. Si vous faite pas d’arrêt avant le terminus mettez vous le plus près des fenêtres opposés de à la porte coulissante. Ces places sont stratégiques pour dormir, pas besoin de trop bouger pour laisser passer les gens et dans les villes moyennes vous serez à porter des vendeurs ambulants si vous avez un petit creux et une petite faim. Le soir je vous conseil les banquettes arrières cela permet de discuter avec les apprentis et les voyageurs qui sont installés juste a coter de vous. Ce sont souvent des gens qui font de très court trajet donc cela permet de discuter avec plein de gens.
je pourrais continuer à en parler pendant des heures je vais essayer de vous parler un peu d’un jeu entre équipe ici. Je pense même faire une thèse sur le sujet. Normalement le premier gbaka arrivé embarque les personnes qui sont présentent à l’arrêt. Il y a deux stations à Tamba. Lorsqu’un bus est plaint il s’en va laissant la place aux autres qui attendent. Mais des fois pour pimenter le tous on assiste à des courses poursuites typiquement africaines. La course aux clients. Prenez 4 compagnies de gbaka, des clients un peu partout sur la route, un même trajet et un petit souci au départ pour pimenter le tout et c’est parti mon kiki.
Notre président est le premier a pas respecter l’ordre d’arriver des gbakas et a foutre le merde normal « mon fils a un car donc je monte dedans « surtout il paye pas. Un grain de sable dans les rouages et tout le monde décide de ne plus rien respecter. Le jeu commence. Le but piquer les clients pour se remplir rapidement et partir ça devient l’anarchie où un peu comme la rue des bouchers à Bruxelles. Pour cacher l’état de remplissage des bus on ferme les rideaux. Et que le meilleur gagne. Certain parte semi plein pour être en bonne position sur la route et pouvoir prendre plein de client et rouler vite pour rattraper les autres devant. Un client trop chiant ou avec trop de bagages et oubliés par certain pour ralentir les poursuivants. Toutes les opérations pour prendre les nouveaux occupant doivent ce faire le plus rapidement possible car c’est la que souvent les autres peuvent doubler. Sur la route les cars roulent au milieu pour éviter de ce faire dépasser. Un autre but de cette chasse au portefeuille et la place d’arriver qui déterminera l’heure de départ le lendemain. Tout le monde se prend aux jeux et quand on arrive à une bonne place ou quand ou double beaucoup les gens applaudissent ou charrie les autre équipe.
Le gbaka d’Abidjan arrange bien des gens, en tout cas moi Daouda je prends souvent les Gbaka
A jamais marcher venait, montaient, montaient…
Les gbaka d’Abidjan de Daouda
Pour completer un peu tout cela vous pouver écouter cette émission de RfI, merci encore a la personne qui ma donné le lien, rien que de l’ecouter je me retrouve la bas.
http://www.rfi.fr/radiofr/editions/082/edition_84_20080711.aspBon je dois vous laisser j’ai deux heure de plaisir en vue à bientôt.
un peu de news
Resalut tout le monde
J’en profite pour écrire beaucoup cette semaine. Car beaucoup de travail cette semaine et les semaines à venir.
La semaine dernière était un peu une semaine de fou. J’ai été a Thies mercredi passer la soirée et avoir les orientations du travail que je devais faire les deux jours suivant. Donc le jeudi j’ai été a Sokone vérifier l’état d’avancement la bas m’occupé de savoir ce qui été prévu pour l’accueil d’une nouvelle stagiaire et voir les problèmes. Trop bien, le coordinateur de l’ADG me laisse de grande responsabilité qui sont un peu dure a gérer quand même des fois mais au moins cela permet de savoir ce que je suis capable de faire ou pas. Donc j’ai dormi une soirée en brousse près de Sokone exactement à Banbougar dans une case typiquement africaine. C’était ma toute toute première fois et j’adore. Mais bon la bas rien n’était fait et beaucoup de problème à gérer. Donc mise en place de plusieurs réunions de travail et de discussion, de thé. Je repars en laissant deux choses qu’ils doivent régler avant lundi. Bien entendu j’avais un peu oublié ici si on les pousse pas au cul c’est pas fait donc lundi on appelle rien n’est fait. Donc mardi au lieu de rentrer a dialacoto, me voila reparti la bas avec mon patron pour tout régler on arrive 90% des problèmes été réglés. Une bonne engueulade et tous avance. Mais bon ça fait quand même assez mal de se retrouver devant son boss avec un travail pas fini. Mais bon, il connaît le système africain. Le probléme, le plus grand au village et que très peu de personne parlent français, c’est le wolof qui est employé donc je ne comprenais rien a ce qui se passait en dehors du travail. Pour l’intégration c’est un peu difficile. Donc je vais me mettre au wolof car en juillet je dois y passer une semaine. Mais déjà tous le monde connaît mon nom et j’ai commencé a donner des cours au primaire te j’ai gagné au jeu des osselets du coin ce qui a épaté tous le monde. Moi aussi a vrai dire.
J’ai profité du week end pour faire un grand tableau de suivi qui n’avait toujours pas été fait depuis l’en dernier. Mais le plus intéressant arrive maintenant. Dimanche on a été à la mer dans un complexe de toubab et j’ai pris mes premiers cours de moto. En faite de scooter a 4 vitesse qui roule quand même a 100. C’été trop bien et je me démerde pas trop mal. Mais bon à mon rythme c'est-à-dire je ne dépasse pas les 50. L’autre stagiaire qui venait d’arriver se débrouille bien mais rencontre un petit problème donc je l’emmène derrière pour qu’elle voit et au retour je monte derrière et la c’est la chute. Assez énorme mais pas trop de bobos et surtout une bonne rigolade quand même. La moto a pas grand-chose l’autre stagiaire la main et le pied bien ouvert et moi quelque égratignure au coude et au dos. Je dirais c’été une bonne leçon on a tout testé. Cette semaine je dois me apprendre a Dialacoto donc on verra ce que cela donne.
Lundi j’ai été avec le responsable production végétal d’un grand projet sénégalais me promener dans des coopératives qu’ils ont mis en place pour voir leur travail. Pour le moment on réfléchi si on va pas adapté le même système a Dialacoto avec le maïs. Il me poursuit celui-ci, c’est surtout l’aliment de bas de la population du coin. En faite les coopératives font des semences pour les autres producteurs de la région. Donc la coopérative de Dialacoto ressemblerait a centre sem. Donc il nous faudra un Depey dans le coin. Visite assez intéressante et surtout c’est vu que les sénégalais sont nul en gestion c’est ce qui fait que la moitié des projet avorte, avis au comptable.
Mercredi me voila reparti pour Dialacoto. Mais bon les 7 places ne se remplisse pas et j’ai réussi à partir cas 12 heures alors que j’étais à la gare routière a partir de 8 heures. Cela ma permit de discuter avec une volontaire japonaise et plein de gens bien intéressant. Les volontaires jap n’ont pas le droit de voyager de nuit et on plein de règle à respecter, a les volontaires français c’est vraiment on vous mais la et fait fait ce qui te plait. Ah bon. Et à l’arriver j’ai eu droit à un grand accueil avec tout le monde. Juste pour dire ça jamais été comme cela à la maison …
Donc semaine avec plein de responsabilité 3 a 4 heures de sommeil quelque pizzas ingurgitées (qu’est ce que c’est bon) un jambon fromage et encore plus de boulot a mettre en place.
Juste pour rassurer ma mère voila l'état de mon coude 4 jours aprés l'accident donc rien de grave
Sur ce bonne semaine et za bientôt
Bisous by
J’en profite pour écrire beaucoup cette semaine. Car beaucoup de travail cette semaine et les semaines à venir.
La semaine dernière était un peu une semaine de fou. J’ai été a Thies mercredi passer la soirée et avoir les orientations du travail que je devais faire les deux jours suivant. Donc le jeudi j’ai été a Sokone vérifier l’état d’avancement la bas m’occupé de savoir ce qui été prévu pour l’accueil d’une nouvelle stagiaire et voir les problèmes. Trop bien, le coordinateur de l’ADG me laisse de grande responsabilité qui sont un peu dure a gérer quand même des fois mais au moins cela permet de savoir ce que je suis capable de faire ou pas. Donc j’ai dormi une soirée en brousse près de Sokone exactement à Banbougar dans une case typiquement africaine. C’était ma toute toute première fois et j’adore. Mais bon la bas rien n’était fait et beaucoup de problème à gérer. Donc mise en place de plusieurs réunions de travail et de discussion, de thé. Je repars en laissant deux choses qu’ils doivent régler avant lundi. Bien entendu j’avais un peu oublié ici si on les pousse pas au cul c’est pas fait donc lundi on appelle rien n’est fait. Donc mardi au lieu de rentrer a dialacoto, me voila reparti la bas avec mon patron pour tout régler on arrive 90% des problèmes été réglés. Une bonne engueulade et tous avance. Mais bon ça fait quand même assez mal de se retrouver devant son boss avec un travail pas fini. Mais bon, il connaît le système africain. Le probléme, le plus grand au village et que très peu de personne parlent français, c’est le wolof qui est employé donc je ne comprenais rien a ce qui se passait en dehors du travail. Pour l’intégration c’est un peu difficile. Donc je vais me mettre au wolof car en juillet je dois y passer une semaine. Mais déjà tous le monde connaît mon nom et j’ai commencé a donner des cours au primaire te j’ai gagné au jeu des osselets du coin ce qui a épaté tous le monde. Moi aussi a vrai dire.
J’ai profité du week end pour faire un grand tableau de suivi qui n’avait toujours pas été fait depuis l’en dernier. Mais le plus intéressant arrive maintenant. Dimanche on a été à la mer dans un complexe de toubab et j’ai pris mes premiers cours de moto. En faite de scooter a 4 vitesse qui roule quand même a 100. C’été trop bien et je me démerde pas trop mal. Mais bon à mon rythme c'est-à-dire je ne dépasse pas les 50. L’autre stagiaire qui venait d’arriver se débrouille bien mais rencontre un petit problème donc je l’emmène derrière pour qu’elle voit et au retour je monte derrière et la c’est la chute. Assez énorme mais pas trop de bobos et surtout une bonne rigolade quand même. La moto a pas grand-chose l’autre stagiaire la main et le pied bien ouvert et moi quelque égratignure au coude et au dos. Je dirais c’été une bonne leçon on a tout testé. Cette semaine je dois me apprendre a Dialacoto donc on verra ce que cela donne.
Lundi j’ai été avec le responsable production végétal d’un grand projet sénégalais me promener dans des coopératives qu’ils ont mis en place pour voir leur travail. Pour le moment on réfléchi si on va pas adapté le même système a Dialacoto avec le maïs. Il me poursuit celui-ci, c’est surtout l’aliment de bas de la population du coin. En faite les coopératives font des semences pour les autres producteurs de la région. Donc la coopérative de Dialacoto ressemblerait a centre sem. Donc il nous faudra un Depey dans le coin. Visite assez intéressante et surtout c’est vu que les sénégalais sont nul en gestion c’est ce qui fait que la moitié des projet avorte, avis au comptable.
Mercredi me voila reparti pour Dialacoto. Mais bon les 7 places ne se remplisse pas et j’ai réussi à partir cas 12 heures alors que j’étais à la gare routière a partir de 8 heures. Cela ma permit de discuter avec une volontaire japonaise et plein de gens bien intéressant. Les volontaires jap n’ont pas le droit de voyager de nuit et on plein de règle à respecter, a les volontaires français c’est vraiment on vous mais la et fait fait ce qui te plait. Ah bon. Et à l’arriver j’ai eu droit à un grand accueil avec tout le monde. Juste pour dire ça jamais été comme cela à la maison …
Donc semaine avec plein de responsabilité 3 a 4 heures de sommeil quelque pizzas ingurgitées (qu’est ce que c’est bon) un jambon fromage et encore plus de boulot a mettre en place.
Juste pour rassurer ma mère voila l'état de mon coude 4 jours aprés l'accident donc rien de graveSur ce bonne semaine et za bientôt
Bisous by
Le monde est petit
Bien le bonjour
J’ai envie de tripper avec cette rubrique. Elle sera toujours ciblé pour certaines personnes donc si vous ne comprenait désolé.
Donc au départ de Thiés pour Tamba cette semaine, je vais prendre mon petit dej dans un petit resto. Je commence à être habitué. Les petit dej quand prend ici au Sénégal dans c’est resto c’est pain fromage avec un pain omelette et un café touba. Pour une fois je demande à la vendeuse si elle peut enrouler mes pains avec un journal écrit en français et non en arabe. Et me voici lire les nouvelle du Sénégal quand je regard le tiercé et que je vois ce nom me sauter au yeux. A vous de voir. A que le monde est petit.
J’ai déjà les suivant mais il me reste les photos à prendre. Donc a bientôt pour vous montrer que même dans le trou du monde on retrouve des choses complément impensable et si proche de chez nous. Mais souvent on les voit car on les cherche.
bisous by a tous
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